Ce travail collectif a pour objectif d’analyser les incohérences structurelles d’organisation humaine et de rechercher des axes d’amélioration pour rendre plus forte et pertinente l’espèce humaine, pour tout le Vivant sur Terre et au-delà dans l'espace. L'analyse se veut être factuelle pour apporter des hypothèses communes sur lesquelles nous appuyer pour transformer. Elle souhaiterait donc être indépendante de qui l'a proposée.

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La plupart des hypothèses proviennent principalement d'un cursus universitaire en ingénierie de niveau Master et Doctorat. Toutes les hypothèses utilisées ont été travaillées et vérifiées, même si l'effort de tracer les sources n'a pas été fait systématiquement (notamment à cause de l'urgence des alertes des COP/GIEC nous demandant d'inventer rapidement des solutions; et ce travail est entièrement fait bénévolement sur du temps libre... donc peu important en quantité disponible). Sauf erreur, ces hypothèses font a priori partie de l’état actuel de la connaissance de l’espèce humaine.

 

Les liens Internet en hypertexte peuvent parfois mener vers des sources scientifiques spécifiques, mais d'autres fois ils peuvent être simplement des raccourcis pour ouvrir Wikipedia, comme une invitation à lancer vos propres recherches d'un mot ou d'une proposition de ce site dont vous n'avez peut être pas entendu parler, et ainsi obtenir immédiatement tout un ensemble de sources qui vous permettront d'en compléter votre compréhension (une proposition pour le long terme : Wikipédia pourrait être acheté par les gouvernements et placé sous la responsabilité des Universités et Centres Scientifiques Nationaux afin que cette encyclopédie ouverte ait un véritable statut de porte d'entrée vers la connaissance scientifique).

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Les anticipations sont des projections élémentaires de phénomènes et de capacités dont la permanence semble confirmée.

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Une remarque générale au passage pour la recherche académique:

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Un problème peut être bien posé et une solution proposée à ce problème

rigoureusement démontrée d'un point de vu scientifique, sans allusion à aucune référence.
 

Par exemple poser et démontrer le théorème de Pythagore peut être fait par "n'importe qui" sans aucune recherche de référence; et l'exercice intellectuel fera d'autant plus progresser et sera d'autant plus gratifiante pour une personne, si elle réussit effectivement à le faire toute seule, plutôt que d'aller lire des références sur le sujet.

Citer ses sources n'est donc pas un moyen de "valider le fait qu'une démarche est scientifique". Elle répond à un besoin de positionnement d'une proposition dans l'état actuel de la connaissance, pour identifier en quoi le travail apporte une nouvelle contribution ou non, l'objectif de la recherche académique étant de faire progresser le contenu du savoir.

 

En effet, cela n'apporte rien aujourd'hui aux Mathématiques de redémontrer le théorème de Pythagore... et le parcours de références permettra aux chercheurs, notamment les plus jeunes, d'arriver vite "sur le front du savoir", plutôt que de passer beaucoup de temps à redémontrer comment roulent toutes les roues.

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Au passage, un travail "d'organisation du SAVOIR" pourrait être réalisé par les Universités et centres scientifiques nationaux du monde pour hiérarchiser le SAVOIR selon une structure cohérente de la structure émergente du monde, ses inclusions, en partant de la capacité de traitement de l'information (capacité intellectuelle) de l'espèce humaine, incluse dans le VIVANT, inclus dans la MATIÈRE-ÉNERGIE existant dans l'ESPACE-TEMPS; cette capacité amont pourrait être décomposée en trois sous-capacités élémentaires:

   A. Le langage pour l'expression et l'échange d'information.

   B. La logique pour le traitement des liens entre propositions.

   C. Les mathématiques pour le traitement des quantités.

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Puis en fonction du champ d'application de ces capacités de traitement de l'information, c'est-à-dire le "sujet spécifique, la fenêtre ou le prisme par lequel on observe le monde", nous aurions alors toutes les "disciplines académiques". Sans chercher à être exhaustif ici, cela pourrait donner par exemple:

• la description du comportement de la MATIÈRE et ÉNERGIE dans l'ESPACE-TEMPS: la Physique.

  • incluant toutes les sous-branches: Thermodynamique, Physique des particules, atomes, molécules,...

  • l'utilisation de ces propriétés pour concevoir des machines : la Technologie.

    • avec tous les sous-sous-branches spécifiques: Chimie, Électricité, Optique, Électronique, Informatique, Mécanique,...

• la description du fonctionnement du VIVANT :  la Biologie.

  • l'utilisation de cette connaissance pour produire de la nourriture : l'Agriculture.

  • l'utilisation de cette connaissance pour soigner les êtres vivants: la Médecine.

• la description des comportements des êtres vivants capables du mouvement ("animaux") : Éthologie.

• la description du passé de l'espèce humaine : l'Histoire.

• la description de la géométrie, des ressources et de l'occupation des"territoires": la Géographie.

• la description des structures des sociétés humaines: la Sociologie.

  • l'orchestration de la société courante : le Droit, la Politique.

  • la description des échanges entre êtres humains : l’Économie.

    • la gestion de l'outil monétaire quand existant: les Finances.​

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L'histoire du SAVOIR (l'épistémologie) et la reconnaissance que l'on exprime à un être humain pour ses "découvertes", pourraient notamment être complètement séparé du contenu du SAVOIR transmis à chaque génération, chaque discipline mettant à jour en continu "son état de l'art, ses références". Cela permettrait notamment de sortir de la culture des "stars" et de partager en toute égalité la connaissance de notre monde. Par exemple, en mathématiques les théorèmes pourraient perdre le nom des personnes qui les auraient "découverts", souvent le fruit d'une longue suite de recherche qui peuvent s'étaler sur des siècles, ajouté à cela l'inclusion de ces recherches dans de potentielles joutes de pouvoir du moment qui peuvent effacer certaines contributions... notamment celles des femmes qui ont été très longtemps effacées de l'Histoire.

 

Les théorèmes porteraient alors le nom de ce qu'ils représentent effectivement : par exemple le théorème de Pythagore pourrait s'appeler le "théorème du triangle rectangle", le théorème de Bolzano Weierstrass pourrait s'appeler le "théorème de convergence des suites bornées",... etc. Cela faciliterait peut être en plus leur apprentissage, leur nom exprimant explicitement ce qu'ils représentent, plutôt que d'avoir à retenir des noms qui peuvent parfois être très loin de nos cultures et ajouter une complexité de gestion de l'information qui n'a aucun rapport avec le sujet traité.

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​En parallèle du SAVOIR, des capacités intellectuelles, seraient les COMPÉTENCES DU CORPS. De la même manière que le SAVOIR, une hiérarchisation des capacités du corps pourraient être faite avec une première décomposition en trois sous-capacités élémentaires:

   A. La mobilité: amplitude et précision du mouvement du corps dans l'ESPACE et le TEMPS.

   B. La puissance : vitesse et force du mouvement.

   C. L'endurance : durée du mouvement à un certain niveau de puissance.

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Ces capacités élémentaires du corps pourraient être reliées aux différents champs du SAVOIR pour donner lieu à des COMPÉTENCES, potentiellement accompagnées d'OUTILS, spécifiques au domaine ou transverses à tout ou partie du SAVOIR (même s'il n'utilise que la mobilité des doigts à faible puissance, l'utilisation de l'outil informatique est par excellence devenue une compétence commune à pratiquement toutes les disciplines - cohérent car il est l'outil central que nous avons inventé de traitement automatisé de l'information, donc potentiellement utile à tout SAVOIR), et qui peuvent évoluer avec l'extension du SAVOIR et l'évolution des Technologies (le "progrès").

 

L'exploitation ludique et/ou artistique de ces capacités du corps, en groupe ou individuellement, avec des artefacts (balles, raquettes, ski, roller, armes, costumes, instruments de musique,...) ou sans, donne lieu à tous les sports, toutes les danses, toutes les musiques, tous les arts du combat,... du monde. Ces 3 sous-capacités élémentaires de mouvement du corps incluraient la capacité à faire vibrer l'air grâce à notre appareil vocal​, capacité innée du corps utilisée notamment pour le langage, dont l'utilisation de l'amplitude beaucoup plus vaste serait le CHANT, inclus dans la MUSIQUE.

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Pour finir, "l'extrapolation" du SAVOIR et des COMPÉTENCES, sans "utilité précise", mais peut être dans l'esprit de "laisser parler les principes sources créateur de l'Univers qui nous traversent"... serait le domaine des ARTS.

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Toutefois ce Manifeste ne cherche pas à répondre à un besoin académique, à voir en quoi ses propositions recoupent, exhaustivement ou non, toutes les argumentations préalables et quelle nouvelle contribution il apporte; il ne cherche pas à être une sorte d'exclusivité (un objectif récurrent du "marché" pour maximiser des profits ponctuels), mais à l'inverse il cherche à parler de ce qui est commun, permanent et moteur dans l'existence du vivant.

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Ainsi, les analyses de ce Manifeste recoupent énormément de démonstrations et de notions déjà proposées dans l'Histoire (le socialisme, la pyramide de Maslow, le malthusianisme,...), et dans un sens, heureusement, car il adresse le même problème d'inventer une organisation la plus harmonieuse possible pour:

L'espèce humaine qui va AGIR et AVOIR dans une BIOSPHÈRE FINIE.

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Le problème est posé, sans aucun double sens à chercher dans cette phrase, tout le monde de 7 ans à 99 ans peut la comprendre, y travailler, sans source, sans allusion à des théories préalables; tout comme les êtres vivants viennent spontanément à la vie; tout comme un enfant de 10 ans pourrait bien vivre heureux, "spontanément avec bon sens", sans avoir à digérer tout le parcours de l'espèce humaine. Un peu comme 1+1=2.

 

La démarche cherche à avoir un langage vulgarisé "évident" que tout le monde peut comprendre, avec des formulations extrêmement simples, des mots non ambigus, en évitant justement des allusions à des concepts ou des théories existantes, qui peuvent être compliqués, qui auraient déjà fait plus ou moins d'adeptes, et qui parfois peuvent être liées à de grands conflits de l'Histoire qui en refroidissent plus d'un avant même d'avoir commencé la discussion.

L'objectif global du Manifeste est de proposer un support accessible à tous pour inventer un nouveau modèle d'organisation, un "système" qui serait simple, explicite pour une majorité, qui ferait que l'on sorte spontanément de la divergence et de l'aveuglement du "jeu du Monopoly", un peu comme une évidence...

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Enfin, ce site internet ne prétend pas être sans erreurs. Il continue d'ailleurs d'évoluer régulièrement en fonction des retours et de l'évolution de la compréhension des problématiques qui y sont abordés. Il est donc possible que vous ne retrouviez pas exactement le même contenu à chaque fois que vous y revenez, sachant que normalement, si la partie que vous lisez a changé, c'est qu'elle devrait être mieux formulée ou avoir été enrichie avec d'autres informations sur  le sujet.